Qui sommes-nous ?

Professionnelle de la filière vin depuis 20 ans, Daniéla Da Silva identifie le covoiturage comme solution de transport du vin et imagine le concept Oenocar en 2016. Elle s'associe à Nicolas Vallet, spécialiste du développement web, et lance le service en 2018.

Il y a des raisons qui expliquent les difficultés des producteurs à étendre leurs ventes directes au-delà des visites à la propriété.

Les particuliers achètent en petites quantités tandis que le transport classique du vin, pensé pour les distributeurs professionnels, se calcule en palettes.

Pour livrer un ou deux cartons — soit l’immense majorité des commandes de vin — les coûts ramenés à la bouteille sont dramatiquement élevés. Et c’est sans compter avec le temps nécessaire à l’organisation de l’expédition et le risque de casse.

Daniéla a identifié que le covoiturage répond à la fois à la problématique de coût du transport et aux considérations environnementales puisqu’on profite d’un trajet déjà planifié.

D’autre part, la vente de vin en ligne est encore loin de tenir ses promesses.

Malgré un activité en haute constante depuis 10 ans, l’e-commerce du vin ne profite pas aux producteurs indépendants. Créer sa boutique en ligne sur mesure n’est tout simplement pas rentable. Quant aux plateformes de vente directe, elles ne génèrent qu’une fraction marginale des ventes des propriétés dont la marge est complètement absorbée par un modèle économique qui offre la livraison.

Avec Oenocar, nous suivons une ligne claire : une vente en ligne est équivalente à une vente à la propriété.

Mêmes tarifs, même marge. Au chai ou sur internet, le canal de vente dépend simplement de la sensibilité du client.

Ça vaut pour le producteur comme pour le client. C’est en affichant le même tarif à la propriété et en ligne qu’on met l’acheteur en confiance.

Avec le soutien des viticulteurs de la plateforme, nous continuons de faire progresser la plateforme.